pierre-baudou-peintre-setois

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les histoires et chanson de pierre et de jeanne baudou aleurs enfants


Contes et légendes que racontés Pierre et Jeanne a tous les enfants

Baudou et son épouse Jeane Noyer Ma maman et les grands parents de Franck grangier Votre papa

Pour vous mes petits enfants : ceci est souvenirs vivant

A toi Mélinda , a toi Tony

 

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Pierre et Jeanne Baudou racontant à leur petit Franck histoires et chants

Ainsi qu’a leurs autres petits enfants

 

 

 

Voici l’histoire qui commence avec mes frères Raoul ( votre oncle ) mon autre frère Jacques et moi-même votre mamy Josie

Tout enfant , je me souviens ders soirées d’hivers ou le soir avant d’aller aulit. La lumiere eteinte , seulement des bougies et la clartée du feu de bois. Nous etions là , tous les 5 , nous les plus petits sur les genoux des parents, blottis dans leur bras nous ecoutions. Papa et maman chantaient ensemble la tyrelienne ( celle-ci était chantée par ma méme Felicie Baudou , maman de mon papa)

Fillette qui cherchait ombrage , fillette qui fuyait l’amour , n’allez pas le soir au village ;, mais n’allez au bois que le jour,car de toutes choses certaine , l’amour si cache bien des fois. Ne prenez pas l’amour pour la lune , lorsque l’amour est à coté.ne prenez pas l’amour pour la lune lorsque lm’amour est a coté é é .. tilalaloi tillala olaoli , tilalaloi tillalaolaoili tili tili  i tilii. Ors l’amour que rien n’embarrase un soir au bopis vient la trouver. Il la suit l’emmene , l’embrase elle cntinue a rever car de toute choses certaine l’amour est venu la trouver

Nous ne comprenions pas toujours toutes les paraloes , mais c’était si bien chanté si bien mime et puis notre papa le chantait pour nous , notre maman aussi

 

 

 

 

 

 

Ou encore les roses blanches c’était surtout maman , cela nous faisait avoir les larmes aux yeux , mais nous la redemandions souvent c’est une chanson qui montre combien l’amour est grand

 

Les Roses blanches Berthe Sylva

C'était un gamin, un goss' de Paris, Sa seul' famille était sa mère.
Une pauvre fille aux grands yeux flétris  Par les chagrins et la misère.
Elle aimait les fleurs, les roses surtout, Et le cher bambin, le dimanche
Lui apportait des roses blanches  Au lieu d'acheter des joujoux.
La câlinant bien tendrement,  il disait en les lui donnant :C'est aujourd'hui dimanche Tiens, ma jolie maman, Voici des roses blanches, Que ton coeur aime tant Va, quand je serai grand J'achèt'rai au marchand Toutes ses roses blanches Pour toi, jolie maman....Au dernier printemps le destin brutal Vint frapper la blonde ouvrière, 
Elle tomba malade, et pour l'hôpital Le gamin vit partir sa mère.
Un matin d'avril, parmi les prom'neurs N'ayant plus un sou dans sa poche Sur un marché, tout tremblant le pauv' mioche Furtiv'ment vola quelques fleurs La fleuriste l'ayant surpris,  En baissant la tête il lui dit :C'est aujourd'hui dimanche  Et j'allais voir maman J'ai pris ces roses blanches elle les aime tant Sur son petit lit blanc là-bas elle m'attend, J'ai pris ces roses blanches Pour ma jolie maman. La marchande émue doucement lui dit : " Emporte-les, je te les donne " Elle l'embrassa, et l'enfant partit,  Tout rayonnant qu'on le pardonne. Puis à l'hôpital, il vint en courant Pour offrir les fleurs à sa mère. Mais en l'voyant, une infirmière lui dit : "tu n'as plus de maman " Et le gamin s'agenouillant Devant le petit lit blanc :C'est aujourd'hui dimanche,  Tiens, ma jolie maman, Voici des roses blanches Toi qui les aimais tant ! Et quand tu t'en iras Au grand jardin là-bas Ces belles roses blanches tu les emporteras !

 

 

 

 

 

 

Papa aimait , nous aussi les pantins , père vivait cette chanson est mimer , tous ce qu’il chantait  Les pantins par Berthe SylvaDe villes en villages  Allant n´importe où  Pour les enfants sages  Je vends des joujoux,  Portant sur l´épaule  Au bout d´un bâton  Mes poupards si drôles  Au nez en carton,  Les enfants sortent tous des maisons  Aussitôt que je dis ma chanson  Qui veut des pantins?  En soie, en satin,  Polichinelle en sabots,  Colombine et son ami Pierrot,  Qui veut des jolis joujoux?  Je ne les vends que dix sous,  Qui veut des jolis pantins  Du grand-père Baptistin?  Lorsque j´me rappelle  Les jours d´autrefois,  Ma pauvre cervelle  Est toute en émoi,  D´une Colombine  J´étais le Pierrot Hélas la gredine  Me trahit bientôt Pour s´enfuir avec un Arlequin  Alors moi j´ai tué ce coquin  Qui veut des pantins?  En soie, en satin,  Polichinelle en sabots, Colombine et son ami Pierrot,  Qui veut des jolis joujoux? Je ne les vends que dix sous,  Qui veut des jolis pantins Du grand-père Baptistin? J´ai payé ma dette  A la société  Mais ma pauvre tête N´a pas résisté,  J´ai vu par moi-même  D´après mon destin Que lorsque l´on aime  On n´est qu´un pantin,  Depuis lors sous ces gais oripeaux  C´est mon coeur que je vends en lambeaux Qui veut des pantins?  En soie, en satin,  Polichinelle en sabots, Colombine et son ami Pierrot,  Qui veut des jolis joujoux? Je ne les vends que dix sous,  Qui veut des jolis pantins Du grand-père Baptistin?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous aimions aussi: tout en fumant la cigarette 1923 Les cartes sont sur la tables Et les joueurs pressés Ont les yeux pleins de fièvre et s'en vont se placer Avec un calme admirable Un croupier très aimable Aux cheveux noirs lissés A saisi plusieurs jeux et vient de les passer Au banquier fort respectable Les brèmes ont été brassées Et la partie est commencée Tout en fumant la cigarette On prend fiévreusement les cartes au tapis On file un brin puis l'on s'arrête Et le frisson passé c'est tant mieux ou tant pis On perd mais ma foi l'on s'entête Et machinalement sur la table accroupi On voit se défiler toute sa bell' galette Tout en fumant... la cigarette...Comme dans vingt minutes On a perdu parfois Ce qu'on avait gagné pendant plus de vingt mois Tous les métiers vous rebutent On renonce à la lutte Et l'on se dit : ma foi Travailler maintenant je ne vois pas pourquoi Et c'est la grande culbute On se laisse aller dans la boue Puis un soir c'est sa vie qu'on joue Tout en fumant la cigarette Au détour d'une rue on attend le passant On n'a plus qu'une chose en tête Avoir beaucoup d'argent...le besoin est pressant Le jour où l'occasion s'y prête On trempe lâchement ses deux mains dans le sang On égorge au hasard un travailleur honnête Tout en fumant... la cigarette Dans la fange on se vautre Ainsi à l'infini Mais dame, tôt ou tard, on doit être puni Si c'est pas un jour c'est l'autre! Souvent un faux apôtre Froidement vous "bonit"La justice s'en mêle, NI. NI , c'est fin  T'as l' bonjour!" et " A la vôtre " On vous fait mijoter deux mois Et par un matin plutôt froid... Tout en fumant la cigarette Un frisson dans la peau on monte à l'échafaudOn fait deux pas , puis l'on s'arrête...On a l'air de crâner, mais on sent que c'est faux C'est à ce moment qu'on regretteD'avoir trop obéi au plus grand des défauts Et devant le couteau on incline la tête Tout en jetant...la cigarette...

 

 

C’était des soirées pleines de lumiere d’amour et de complicitée. Il n’’y avait pas de television, l’eau pour boire et se laver il fallait aller la chercher dans des cruches a l’exterieur : il y avait une pompe pour tous . là on se suspendait a la pompe surtout moi qui était petite , mais c’était toujours un jeu que d’aller checher de l’eau. Plus tard j’eatais déjà grande nous avons eus l’eau dans la maison , donc un evier , un robinné. Non les enfants pas de douche on nous mettaint dans un cuvier et croyez bien qu’apres etre passée dans les mains de maman , nous ressortions comme un sous neuf. les toilettes WC , non ,nous avions des seaux et chacun faisait dedans ,. Au matin maman , comme toutes les mamans allait vider ce seau au WC des maisons. Et oui le progrès n’est venu qu’a petit peu. Pas de téléphone non plus, il y avait stylo , non le porte plume , avec de l’encre et papier. la premiere television , ce sont des voisins , de la  maison juste a coté de la notre qui l’ont eu( c’était la mariage de la reine elisabeth d’angleterre ,aussi nos voisins avaient ils laisserl leurs volets entrebailés)  Mais nous etions heureux et ne demandions rien d’autres. En face de la aison le grand jardin de sète ( château d’eau ) il était là pour tous les enfants et nous y etions tres souvent. Il y avait un garde. Gentil il était , chaque fois qu’il me voyait , lorsque j’etais sage , que je ne la faisais pas courrir derriere moi , qu’il n’y avait pas ecole , il me donnait contre un gros bisous , un bouquet de roses  , des roses pompons et elles etaient pour ma maman et sentaient si bon.

 

 

 

 

 

 

Papa aussi aimait lire des vers pour maman

Quand nous chanterons le temps des cerises, Et gai rossignol, et merle moqueur Seront tous en fête ! Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux du soleil au c
œur ! Quand nous chanterons le temps des cerises Sifflera bien mieux le merle moqueur !
Mais il est bien court, le temps des cerises Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant Des pendants d'oreilles... Cerises d'amour aux robes pareilles,
Tombant sous la feuille en gouttes de sang... Mais il est bien court, le temps des cerises, Pendants de corail qu'on cueille en rêvant !
Quand vous en serez au temps des cerises, Si vous avez peur des chagrins d'amour, Evitez les belles ! Moi qui ne crains pas les peines cruelles Je ne vivrai pas sans souffrir un jour... Quand vous en serez au temps des cerises Vous aurez aussi des chagrins d'amour !
J'aimerai toujours le temps des cerises, C'est de ce temps-là que je garde au c
œur Une plaie ouverte ! Et dame Fortune, en m'étant offerte
Ne saurait jamais calmer ma douleur... J'aimerai toujours le temps des cerises Et le souvenir que je garde au c
œur !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voici maintenant les histoires qu’ils nous ont racontés a nous leurs enfants , a tous leurs petits enfants , mais surtout a Franck votre papa , car celui-ci dormait au moins un soir par semaine chez eux

O c’est histoire tous mes amis du soulier bas ou nous passions trois mois de vacances .ils les ont entendus ainsi que les chants car ma maman , chantait du matin au soir comme un rossignol et pour tous Lorsque mariée nous recevions les amis de papy ( armée a la maison : des enfants chez eux etaient nés : mamy baudou ma maman , chantait et racontait . c’est ainsi qu’elle était nommée la conteuse

Ma  Grand-mère  me racontait Viens tout prés de moi ,sur mes genoux et blottis toi contre moi Je vais te conter une bien belle histoire .J’étais là hébété , je buvais ses paroles, comme à chaque fois , qu’elle  racontait. Il était une fois, une dame pauvre, si pauvre ,seule avec ses trois enfants .Trois petites filles aussi jolies l’une que l’autre, douces et blondes comme les blés chantant au soleil de l’été Elles étaient bien jeunes et pourtant si triste de voir leur maman  fatiguait Ce jour d’hiver pourtant ,la maman rapportait de quoi offrir à ses trois fillettes Un peu de viande à manger. mais qui allait elle envoyer au village , pour l’acheter L’aînée  Louise  se proposa au grand désespoir des deux autres et partit en chantonnant sur les routes jusqu’à la boucherie du village Fais attention crie la maman , peinée de la  voir partir si jeune, si frêle  Le boucher : mon Dieu ,mais que veux-tu ?Fièrement , levant la tête elle lui dit , un gros morceaux de viande pour mes sœurs , maman et moi-même Maman a travaillait dur et nous a porté des sous, voyez dit-elle fièrement  Et le boucher tendrement lui donna un morceau de viande, si gros qu’il lui fallait ses deux bras. Fais bien attention lui dit il sur la route. La voici partie en courant en chantant. Tout à coup, là au tournant qui a-t-il un petit chien qui aboie. ouf dit-il d’un air peu rassurant  Louise gentiment lui tient tête en disant : non, non, tu n’auras pas ma viande c’est certain. Mais le chien lui sauta au bras, lui vola sa viande et partit en courant. La fillette pleurant à gros sanglots, rentra vers sa maman un bien grand froid au cœur. La maman tristement dit à ses trois fillettes, il vous faudra attendre d’autres jours plus heureux Ce jour-là revint, et le dilemme fut grand, qui allait partir cette fois. Ce fut donc la deuxième Marie qui s’offrit en service la plus jeune Annie étant bien trop petite. Je veux y allait dit-elle pourtant je n’aurais pas peur du gros chien. Marie partit donc au village sifflotant comme la précédente, son aînée, le boucher quant à lui n’en croyait pas ses yeux, encore petite Marie de la viande tu veux. Oui Monsieur, car un gros chien l’autre jour a volé à Louise le gros morceau de viande qu’elle vous avait pris. Nous avons du attendre que maman nous rapporte de quoi venir ce jour racheter un morceau. Le boucher attendrit devant tant de douceur, de pauvreté, lui donna un morceau encore plus gros que la première fois. Tient dit-il à Marie et fais très attention que le chien ne revienne et te prenne à ton tour, la viande que tu portes. Cahin - cahan chantant à tout vent, je n’ai pas peur de toi, même si tu es très gros, ouf entend elle aussi, non, non, tu n’auras pas ma viande, mais tu es tout petit, je n’ai donc rien à craindre de toi. Ouf, ouf dit-il encore et s’élançant sur elle, il emporta encore cette fois la viande dans sa course folle. Pleurant à grosses larmes bien plus fort encore que sa sœur Louise, avait fait la première fois. Maman dit-elle en sanglotant c’était un chien très, très gros et il m’a tout pris. La mère tristement leur dit encore une fois, il va vous falloir attendre des jours meilleurs. La voici pourtant après bien des besognes, quelques sous dans sa main, leur donner cette obole. La petite Annie se dressa pour grandir, afin qu’on la laisse à son tour partir. Va, fais Attention dit la mère tristement, l’histoire se répéta jusqu’au bout direz-vous, Et bien non. Annie si petite si frêle courut après le chien, aussi vite qu’elle le pu. Devant une grande et belle maison le chien tout en aboyant l’attendait sagement. A vaurien lui dit-elle rends moi ma viande, mais celui-ci passa par un tout petit trou, vaillamment Annie sauta par-dessus la grille et entra dans la maison ou était le chien. La nuit venait bien vite et Annie ne voulait pas partir sans la viande. Tout à coup une grande clarté dans la pièce, de grandes flammes et au centre une belle femme. Bonjour Annie je t’attendais ! Il est à vous madame ce chien ? oui Annie, mais si tu fais ce que je vais te dire ; cette maison, tous les domestiques et tout ce qui est dedans sera pour toi ta maman et tes sœurs. Voilà dit-elle, il te faut rester trois jours et trois nuits. Un monsieur passera sous la fenêtre s’arrêtera et dira c’est toi Madeleine ou ce n’est pas toi, à chaque fois tu répondras oui c’est moi. La troisième nuit il montera et la suite sera pour moi. Ainsi fut dit, ainsi fut fait. La 3em nuit il monta se trouva face à Madeleine qui l’emporta avec elle en enfer, ceci pour tout le mal qu’il avait fait. La petite Annie partit chercher les siens, leur offrit la maison et tout le st frusquin. Le soir une grande table pour elles fut mise, une chaise pour Rip le petit chien aussi. Une serviette autour du coup, la fourchette le couteau, vous êtes ravi de voir cela. Mais non, s ”avez-vous qui est sous la table et qui mange les os. Des cris s’élèvent, qui -qui Mamy, mais c’est toi mon chéri qui a eus le plus gros os Je suis si heureux avec ma grand-mère et tous ces contes qu’elle a à me raconter. jbg En souvenir de ma maman , votre  grand-mère et tante

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dis ! Grand-mère,

Raconte moi cette Histoire L’histoire de la petite Annie et de sa marâtre Il était une fois, une petite fille qui n’avait plus son papa et sa maman .Elle vivait seulement avec la deuxième femme de son père ,sa marâtre qui ne l’aimait guère .Celle-ci ne se privait de rien, Et demander à la petite Annie, bien des choses, qui ne pouvaient se réaliser .C’est ainsi qu’un matin plein de rosé, la marâtre apostropha la petite Annie .Feignante, fille de rien, je veux que ce matin, tu ais fini de couper le foin, de toute cette terre .Que tu l’ais fauché, tourné et rentré. La pauvre fillette, partit doucement et, se jeta dans l’herbe, en sanglotant, cachée des regards. Elle pleura si fort, que les petits nains passant par là, furent touchés dans leurs cœurs. Tic à Tic, Tic à tic, tic à tac. Que ce passe t’il petite Annie, dirent-ils d’un seul trait. Elle leur raconta, combien sa marâtre était méchante et ce qu’elle voulait d’elle. Les petits nains lui dirent d’aller dormir là dans la forêt et qu’aux 12 coups de midi tout serait rentré. LA fillette pensait qu’ils étaient bien gentils mais bien trop petits, pour arriver à cela. Mais elle était si fatiguée, que ses yeux se mirent à se fermer. Pendant ce temps on entendait tic à tic, tic à tac et aux 12 coups de midi, La petite Annie fut réveillée par ses amis et ouvrit des yeux, grands si grands, pour la joie des petits nains. Vois-tu petite Annie chaque fois que tu auras des ennuies, appelle- nous, nous serons là. La marâtre sortie aux 12 coups de midi, mais ne vit que le travail terminé. Diable, Diable dit-elle, comment a t’elle pu faire et la battant, chercha déjà ce qu’elle pourrait bien lui ordonner comme travail. La nuit allait tomber, quand la marâtre, appela la douce enfant, Feignante, bonne à rien, vient donc ici. Je veux qu’avant l’aurore ; tu ais fini de couper le blé, de l’avoir égrainé et l’avoir mis en farine. La petite Annie pendant que sa marâtre dormait partie dans les champs de blés et ce mit à pleurer. Petits Amis, gentils petits Nains, que vais-je devenir. Tic à tic, tic à tic, tic à tac et les voici tous arriver en chantant. Qui a-t-il gentille Annie, que tu pleures encore et encore. Elle leur raconta les méchancetés de sa marâtre et leur dit que cette fois, ils ne pourraient rien pour elle et, qu’elle était bien malheureuse. Va donc dormir, prés de l’âne et du bœuf, ils te tiendront chaud et te protègeront. La petite Annie s’endormit aussitôt et au petit matin se réveilla, émerveillée. Le blé était coupé, battu, mis en grain et la farine était dans les sacs, rangée comme il faut. La marâtre arriva et n’en crut pas ses yeux, la fillette avait donc tout fini, comment avait-elle pu faire. Aussitôt, elle l’appela, la gronda, la frappa. Feignante, bonne à rien, c’est donc le diable qui t’habite, qui t’aide. Vilaine enfant et vociférant toujours lui dit la malice dans l’œil. (Cette fois pensa-t-elle, elle n’y arrivera point). Je veux qu’aux 12 coups de midi. Tu ais fait le pain pour l’année entière, que tu ais trait les vaches, mis le lait dans les seaux, que le fromage soit fait pour les 12 mois à venir Que tu en ais vendu suffisamment pour remplir d‘or ces sacs-là. Et là riant à fendre l’âme, (nous verrons BIEN),. Elle partit se mettre au lit, l’âme bien guillerette sachant très bien, que cela n‘ était pas possible. La jolie Annie se mit à pleurait, appela ses amis. Tic à tic, tic à tac on entendait alors, les petits nains arrivaient en chantant. Que t’a donc fait encore la méchante, pour que tes jolis yeux soient tout remplis de larmes. Elle raconta son désespoir et leur dit gentiment, qu’ils ne pouvaient ce jour, rien pour elle, car il y avait tant à faire et à refaire. Très en colère devant tant de méchanceté, devant tant de détresse, ils n’y pouvaient tenir. Ils envoyèrent encore la fillette dormir. Ce qu’elle fit d’un trait, tant sa fatigue était grande. On entendit tout le matin, chanter nos petits lutins, tic à tic, tic à tac faisaient leurs pas en dansant. Le pain fut fait et mis sur des paillasses, les vaches traient et le fromage formé pour l’année à venir. De l’or il y avait, mais là vous allez comprendre, la malice de nos braves petits nains. Ils avaient rempli les sacs de lourdes pierres et à moitié dessus avaient mit l’or en vrac. Sachant bien entendu, qu’elle ne laisserait à d’autre le soin de mettre tout cet or à l’abri des regards. Les sacs étaient posés, près d’un puits bien profond, ils attendaient que la marâtre vienne les soupeser, voir si le contenu était bon. Les petits nains quant à eux, étaient là bien présents, mais cachés au regard de la marâtre. Les12 coups de midi sonnèrent sans réveiller l’enfant, la marâtre accourue et ouvrant les sacs dits en jurant très fort, que le diable l’emporte, j’ai fait une affaire en épousant son père.  Vite cachons ce tout, et voulant faire vite, essaya de prendre plusieurs sacs à la fois. Les petits nains ravis, la poussèrent alors dans le puits profond. Jamais plus la petite Annie ne connue la misère, le chagrin, la douleur, Elle devint bien vite une jolie jeune fille, fut remarquée par un prince charmant qui passait par là. Les noces furent faites en grande pompes. Et lors du repas les enfants savez-vous que les petits nains étaient là, que tous les animaux étaient à table. Qui avait il donc, là sous cette table, mangeant avidement les mets qu’on leur jetait. Qui, qui, Grand -mère. Mais vous gentils enfants, car vous étiez invités à cette grande fête. Mamy josie

 Jbg  en souvenir de maman votre G-mère et tante

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mamy, Mamy le dragon, le dragon à sept têtes

Il y a longtemps dans une petite île, les habitants ne vivaient que de leurs pêches. Ils étaient heureux et vivaient dans l’amour, mais voici qu’un matin, un dragon monstrueux, horrible, vert très, très foncé apparu en haut de la montagne au son sommet le plus haut son corps était laid, velu, gras et long de plus de cent mètres. À son sommet sept têtes plus horribles les unes que les autres, elles vous regardaient en crachant du feu une fumée noire l’envelopper et le rouge des flammes ressemblait à l’enfer son feu détruisait tout sur son passage. Les habitants de l’île étaient terrorisés. Il fallait offrir à ce monstre une jeune et jolie fille vierge aussi, une par an, afin que le dragon les laisse quelque peu, un an à souffler avant que d’offrir une autre vierge. Celle qui fut choisie était belle à mourir, elle vivait seule avec ses parents près d’un torrent, dans une maison de feuilles. Les habitants au jour vinrent la chercher. Plus jamais l’on entendit parler d’elle, hélas plus aucune beauté n’habitait le village, les parents les avaient toutes défigurées. L’on savait que le dragon était fou de colère, ses flammes s’élevaient plus haut chaque jour, la fumée descendait sur le pauvre village. Devons-nous subir toujours la colère du dragon. Il restait dans le royaume une seule fille d’une inégalable beauté. C’était la princesse au doux regard : la fille du roi. Que devons-nous faire. Attendez, cria un jeune homme fort de prestance, d’une grande beauté .et vêtue comme un prince. J’ai appris ce qu’il se passe dans votre royaume et je suis venu, pour vous aider. Je te remercie dit le Roi à ce brave, pour mon peuple et ma fille bien-aimée. Tue ce dragon et je te couvrirais d’or. Ce jeune prince n’était autre que l’ami des bêtes. Il leur demanda à toutes de l’aider à vaincre le dragon. Fourmies, Abeilles et aigles se portèrent à son secours. L’aigle royal lui offrit son dos, pour qu’il monte plus vite au sommet de la montagne en feu. Le dragon l’attendait et voulait la princesse, gonflant toutes ses joues il lui souffla dessus, le jeune homme éperdu de voir tout ce carnage, prit son épée au poing et fondit sur l’animal monstrueux. Des coups de sa queue l’envoyaient à terre , mais il se relevait toujours bien bravement.La vapeur était forte, de souffre et de larmes Mais courageux il était .Le dragon balança sa queue d’avant en arrière afin que l’intrus ne  vient l’attraper. Les fourmis, les abeilles, foncèrent chacune sur le dragon, qui cracha encore plus de flammes par la douleur. Il se tordait en tous sens et le pauvre prince se vit plus d’une fois couché sur le sol rugueux. Les aigles à leurs tours vinrent lui porter aide, crevèrent les yeux du dragon monstrueux. Les habitants et le Roi, montaient tout doucement la princesse là- haut, priant à tout instant que la bête immonde ne vienne à mourir et perdre ces sept têtes d’horreurs. Encore vaillamment, le prince s’élance, il coupe une tête puis deux et puis trois. Le dragon bouillonnant d’un feu de douleurs de colère meurtrière réclamait encore une pucelle à manger. Le prince se jeta pour l’ultime bataille, le cœur remplit d’horreur, mais du courage toujours, il coupa net un 4e m têtes, les trois autres suivirent. Ce fut la fin du dragon, ces têtes malgré tout ont craché encore de la bave rouge, du feu et là brusquement, Il tomba lourdement et ne bougea plus. Des cris de bonheur s’élevèrent, les habitants lui donnèrent tous les honneurs. Le roi quant à lui offrir la richesse mais sa fille heureuse, l’aima plus fort que tout. L’on célébra peu de temps après les épousailles. Le prince et la princesse connurent un grand bonheur, des enfants naquirent de cet amour. Et chaque année l’on fêta tous ensemble ce bonheur et la mort du dragon. Il y avait partout de bien bonne chose, tous prenaient plaisir à manger à danser. Et là dans le fossé, qui a-t-il. Dis mamy, dis, qu’y a-t-il, mais vous mes chers enfants l’on vous donne toutes les têtes à manger. Est-ce bon !JBG  en souvenir de maman votre grand-mère et tante

 

 

 

 

 

 

 

 

Mamy jeanne noyer épouse pierre baudou  et josie leur fille

Ta mamy

Une histoire, une histoire Mamy

 Il était une fois, dans un hameau, une famille de meunier. Le père était vieux et bien fatigué. Sachant que les trois fils qu’il avait, ne feraient fortune en restant prêt de lui. Fils leur dit-il un beau matin de printemps. Il nous faut discuter tous les trois bravement. Votre mère ma si tendre épouse, nous a quittées il y a déjà longtemps. À ce jour ma tâche prête de vous devient bien dure, car je n’ai pas ce qu’il faut pour vous trois mes enfants. Après bien des blas. -blas. et des pleurs, le père leur fit comprendre qu’il leur fallait partir. Voyez-leur dit-il le moulin, rend l’âme, il vous faut travailler, dur et revenir ici, donnons-nous donc 5 ans afin de faire fortune. Et je vous attendrais fièrement, il est vrai. Les voici donc partis, chacun prenant une route et se donnant chacun le lieu ou dans 5 ans, ils se retrouveront et montreront la fortune, qu’ils veulent bravement donner à leur papa. Avant que d’aller tout prêt de leur vieux père, ils se veulent, tous les trois ensemble pour le retour. Car ils veulent pour lui, sa vie bien plus heureuse, plus de soucis, ni de tracas pour lui, pour eux aussi ne s’entendent. Leur père a mérité une vie harmonieuse pleine de douceur et d’un bonheur tout neuf, il leur a tout donné et ils s’aiment tous, tant. Cinq ans c’est long pour le pauvre père, qui avait dû contre sa volonté faire partir les enfants. Mais son vieux moulin, ne donnait plus, suffisamment de farine pour nourrir les petits. Les voici donc arrivaient ces cinq ans, le premier l’aîné arrive à l’auberge de leur rendez-vous avec son âne Martin. Mon Dieu direz-vous donc, rien qu’un âne pour richesse, et bien non.  Aubergiste avez-vous de quoi me loger, me nourrir avec mon âne, je vous payerai bien. L’aubergiste curieux, peureux de n’être point payé, regarde prudemment par un trou de la cloison. Et là surprise il vit le jeune homme parler à son ânon. Martin donne-moi de l’or et Martin donna de l’or plus qu’il n’en fallait. Au matin voyant que ces frères n’étaient point au rendez-vous, il reprit la route sagement avec l’âne Martin. Sans savoir seulement que l’aubergiste et sa femme dans la nuit avaient changé son âne contre le leur. Le deuxième fils arriva ce jour-là et attendit que ses frères arrivent, pour partir. Il n’avait avec lui qu’un grand drap de lin blanc, qu’un drap de lin blanc, pour seule richesse.  Et bien non, vous allez voir cela. Aubergiste avez-vous de quoi me nourrir me loger, j’attends mes frères, pour rentre. Nous n’avons plus rien pour mettre dans votre assiette ni dans celle d’ailleurs, de qui que ce soit. Et bien aubergiste, vous aurez ce soir pour faire manger bien du monde je remplirais votre table et tous vos gardes a mangé. L’aubergiste curieux, regarda par un trou, fait dans la cloison. Et là stupeur vit le jeune homme, étaler sur le sol sa nappe de lin blanc. Nappe charge-toi de toutes victuailles, de boissons, de douceur pour les jours à venir. La nappe se chargea de bien belle chose. Le fils second partit le lendemain, sans savoir que sa nappe avait été changée dans la nuit par ces gredins. Doucement il rattrapa son frère et décida tous deux, d’attendre le benjamin. Celui-ci voyant qu’il était à la bourre, alla plus vaillamment, sans s’arrêter en chemin. Il n’avait quant à lui qu’un bâton de marche, qu’il serrait contre lui avec beaucoup d’amour. Voici donc les trois frères qui finissent leur route avec toute l’affection pour leur père meunier. Les enfants, vous voici enfin, ma joie est immense, vous me manquiez tant ! Où est votre fortune ? Tu n’as qu’un pauvre Martin à ta main, qui lui va lui donner du pain et toi ! une nappe blanche pour mettre sur quelle table, à ce jour je n’ai plus rien dans mon pauvre moulin. Et toi Le pitchounet, un brave bâton de marche, que veux-tu donc faire avec lui, si la faim dans ton ventre ne te laisse marcher. Fièrement chacun des deux premiers montre à leur père la fortune qu’ils ont faite. Hélas ni l, ni la nappe ne donne de richesse. Ils comprennent alors, ou le vol a eu lieu. Le tout dernier enfant dit donc à son père à ses frères, jamais personne ne viendra nous voler, prenant son bâton d’une main, il lui dit partons maintenant et frappons les chenapans. Les voici tous les trois sans oublier le père en direction de l’auberge ou a eu lieu le rapt. Bonjour aubergiste nous voudrions une chambre, de quoi manger aussi, vous serez bien payé L’aubergiste les ayant reconnus, pensa la bonne affaire, que vont-ils bien avoir, que je leur prendrais. Il regarda par le trou, mais celui-ci avait été bouché, malgré tout il entendit parler et reparler.  Quand tous dormaient, (c’est-ce que l’aubergiste croyait,) il ouvrit doucement la porte pour voler. Aussitôt le fils se mit à crier bâton frappe -frappe, sans t’arrêter, pour l’âne Martin qu’il nous a volé, pour la nappe de lin blanche qu’il a gardée. L’aubergiste cria de lui laisser la vie, qu’il leur rendrait l’âne Martin et la nappe de lin blanche. Voici donc, père toute notre richesse, de l’or nous aurons pour tout faire et aider les pauvres êtres, à manger toujours nous aurons sur la table, pour nous, notre famille et tous les pauvres êtres, quant à moi dit le jeune, jamais plus de voleurs, de malfaiteurs ne viendront nous trouver ni tous les pauvres êtres qui viendront vers nous. Ce jour la grande table avec tous ceux qui ont voulu venir, mais enfants qui a-t-il sous cette belle table. Qui. Qui, grand-mère. Mais vous les enfants, on vous donne gentiment les os à rouziguer. Jbg en souvenir de ma maman

                    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Oh maman, l’histoire de TomPouce

 

Il était une fois un monsieur et une dame, tristes tous les deux, ils voulaient un bébé et n’en avaient point. Que faire, que faire, pourquoi n’avons-nous pas de bébé. Ils demandèrent à voix haute, avec le cœur aux lèvres : Fées, Fées venez à notre secours, nous commençons à être vieux et aucun enfant riant près de nous, aucun enfant à aimer, personne ne qui vivra après nous. Même petit, très petit, nous serions si heureux. Les Fées décidèrent de leur venir en aide. La maman enfin a du bonheur, la graine semée avec amour, va donner un bébé. Tous les deux attendent sa venue avec plein de bonheur et d’affection. Enfin voici bébé qui arrive, mais il est petit, si petit, que les parents le voient à peine et se demandent comment ils vont faire, pour ne pas le perdre. Le papa avait fait un petit lit pour le futur, mais impossible de le voir dedans, il n’était pas plus gros qu‘un doigt. Ainsi fut il appelé Tom pouce. Le papa refit un berceau pour son enfant et, ce fut dans une coquille de noix. Le bébé devint un gentil petit garçon, mais que l’on cherchait tout le temps. Il emmène les vaches au champ, reste avec elles, les surveille puis les remmène à la maison. Mais voici que les vaches rentrent seules. Tom. Tom. Crièrent   le papa et la maman, ou es-tu, réponds. Tom. Tom.  Je suis là, mais où ! Où es-tu. Là. Mais ou là. Regardez-en bas, la vache m’a fait une bouse dessus. Mon dieu mais les bouses se touchent toutes, dépêchez-vous je respire mal. Enfin il retrouve Tom Pouce, le mettent. Bien aujourd’hui il faut aller faire les foins, ne te tiens pas trop près des vaches dirent le papa et la maman, dans un bol, pour lui faire prendre un bain. Là ne s’arrêtent pas les aventures de ce petit garçon. Oui je ferais attention, Mais la maman soulève le foin et le jette sur le char, tandis que la papa , le range convenablement . Une fois le champ fini, ils se dirigent vers la grange .Tom Pouce , nous partons , fais donc attention. Arrivés à la maison, Tom ne reste pas là, mais ou es t’il encore passé. Ou es-tu ! Dans le foin ? Vous m’avez soulevé et mis dans le char. Je suis en haut, là c’était chercher une aiguille dans une botte de foin, mais pire que cela, il fallait retrouver Tom. Après bien des recherches, ils retrouvèrent l’enfant, les cheveux pleins de foins, c’est dire qu’étant si petit l’on ne voyait qu’une paille. Ils le rentrent, le dorlotent et pleurent très fort, car ils ont peur pour lui. Le mauvais temps c’est installé et ils non pu finir leurs travails, donc ils n’auront guère à manger. Ils vont aller à la ville vendre la laine de leurs moutons. Tom se met dans l’oreille de son âne et part seul à la ville après bien des recommandations. En chemin des brigands disent, fichtre, fichtre, voici un âne qui va bien nous rendre service, il y a de la laine et bien d’autres trésors cachés sous les couvertures.  Avec ce que nous avons volé au Roi, nous allons vivre riche et en attendant avec cet âne et ce qu’il y a dedans, on ne nous reconnaîtra pas. Allons prenons le. Messieurs, Messieurs, si vous n’arrêtez, vous aurez affaire à moi, Un âne qui parle !

 Mais non t’as encore trop bu. Montons-lui dessus, ainsi nous ne serons pas fatigués. Non, non je vous l’interdis. Mais si ! Nous allons te monter dessus. Un âne qui parle ne nous fait pas peur. Vraiment, un pistolet bien gros sort de l’oreille de Martin L’âne. Et bien messieurs haut les mains, sinon je vous tire dessus. Un coup part pour bien leur montrer qu’il n’y a pas rigolade. Les deux hommes peu fiers, peureux lèvent les bras. Vous le grand et gros, prenez donc cette corde et attachez votre copain, ficelez-le sur la charrette puis vous-même rester devant et attachez-vous à moi. Ce qu’ils firent de peur d’une grande colère de Martin. Arrivait à la ville, notre courageux Tom Pouce se rendit au château où il demanda à voir le Roi. Expliquant qu’il venait d’arrêter deux grands brigands des routes, ceux-là même qui avait volé le Roi. Les gardes eurent bien peur en entendant un âne parler, et le Roi très curieux de sa personne, fit entrer l’âne. L’âne fit la révérence, le Roi très intriguait lui dit, mais c’est toi l’âne qui parle ! Non, mon Roi, c’est moi Tom Pouce, je suis petit comme un doigt et me trouve, dans l’oreille de martin. La princesse qui ne disait mot, jusqu’à cet instant, alla vers l’oreille de Martin et en sorti devinez quoi, notre petit Tom. Il expliqua tout depuis sa naissance jusqu’à ce jour où il captura ces deux malfaiteurs, Le Roi, la cour toute entière et la jolie princesse, rirent   de tout leur cœur. Le Roi décida de rendre hommage à Tom et à sa famille. Ils le couvrirent d’or et le raccompagnèrent jusque chez lui, pour féliciter les parents. Une belle maison fut construite pour eux, plus jamais de travail aux champs, ils avaient suffisamment pour vivre des jours heureux. Leur tristesse néanmoins se faisait sentir car leur fils avait pris de l’âge, mais n’avait point trouvé de femme pour faire sa vie. Pourtant il n’était point oublié par les fées, ni par le Roi. Celui-ci possédait une autre fille, aussi petite que Tom lui-même. Aussi les présentations furent faites et le mariage décidait. Une grande noce, un repas merveilleux Ils se marièrent et eux de beaux enfants. Et sous la table, les petits. Qui a-t-il .qui ..Mamy..qui! Mais vous les petits, on vous y a mis pleins de bonnes choses à manger En souvenir de maman, votre grand-mère et tante jbg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il était une fois une dame très belle, mais qui vivait seule avec ses trois filles

Raconte  Grand-mère, Mes pitchous il faut aller dormir, vos yeux commencent à dormir Oh! Grand-mère raconte s t p  .Alors ce sera une  toute petite histoire, ensuite, vous fermerez les yeux et continuerez à faire des rêves merveilleux il était une fois une dame très belle, mais qui vivait seule avec ses trois filles Elle n’était pas très riche, son mari était parti se battre pour le ROI et n’était jamais revenu. Cette pauvre femme n’arrivait pas à faire tout, ce qu’il fallait pour ses trois filles. L’aînée belle et orgueilleuse, la seconde, belle mais cupide, la troisième belle, douce et d’une timidité à faire s’enfuir toute personne l’approchant. Celle-ci était le souffre-douleur des deux aînées. La maman ne savait plus que faire pour elles. Elle décida donc de les marier, mais qui voudrait de ces filles. Ne trouvant, aucun prétendant, la mère se décida de les envoyer faire fortune. Et par elle-même à trouver un mari. L’aînée partie donc, dans toutes les villes du royaume, son orgueil lui fut néfaste, car le seul prétendant qu’elle trouvait, était un pauvre garçon et son orgueil lui disait qu’elle pouvait trouver mieux. La seconde trouva mais, trop pauvre aussi pour elle, qui aimait tant l’argent. La troisième fut remarquée pour sa douceur, par un jeune homme d’une beauté extraordinaire. Celui-ci la demanda en mariage sans se nommer. Ses deux sœurs, voyant cet homme beau, riche de surcroît, car bien habillé et possédant carrosse. Elles firent tout pour les séparer. Prenant leur jeune sœur à part, elles lui dire, que cet homme était aussi leur prétendant et, que s’il voulait la prendre pour femme, ce n’en que pour jouer, car elle ne l’intéressait nullement. Elles lui ordonnèrent de partir loin de lui et de les laisser tranquilles, afin qu’il fasse un choix entre elles deux. La pauvre enfant partit le cœur gros, pensant combien le sort était contre elle, mais, qu’elle aimerait ce jeune homme jusqu’à la fin de ces jours. Pendant ce temps le pauvre garçon allait dans tout les sens pour la retrouver, Ces deux sœurs ayant voulu la disgracier face à lui, il comprit combien son aimée devait souffrir. Mais, ou chercher cette enfant. Ce que les jeunes filles ne savaient pas, c’est qu’il était le prince de ce royaume. Il somma donc ces demoiselles de bien vouloir se rendre au palais, ceci par le biais d’un valet.  Ne sachant ce qu’on leur voulait, mais se disant que le Roi avait dû entendre parler de leur beauté, elles s’habillèrent aussi richement que leur maigre économie le leur permettait. Arrivées au palais, elles restèrent les yeux baissés devant le prince, qu’elles reconnurent, comme était le prétendant de leur jeune sœur. Celui-ci les apostropha vivement les sommant de retrouver celle qui était dans son cœur. Sinon, pour elles deux ce serait le cachot. Prisent de peur, paniquant, l’orgueil refoulé, l’avarice tombée. Elles comprirent que ne fallait coûte que coûte retrouver leur jeune sœur, mais où ! Elles cherchèrent, rencontrant leurs anciens amoureux, elles leur demandèrent de bien vouloir les aider. Et qu’une fois leur sœur retrouvée, elles les voudraient bien prendre pour mari. Ces deux jeunes hommes qui n’étaient pas aussi pauvres qu’il y paraissait, mit tout en œuvre et finirent par retrouver la jeune fille dans un couvent ou elle s’était réfugiée. Ils la ramenèrent avec eux, ses sœurs lui demandèrent pardon, pour tout le mal et les mensonges qu’elles lui avaient racontés. Nous avons bien changé, la leçon a été dure, mais nous aussi avons rencontré l’amour, et même, si ceux que nous aimons ne sont de la noblesse, nous nous aimons assez pour être heureux. Les jeunes hommes étaient pourtant richement nés, ce qui les fit rire d’entendre leurs promises parler ainsi .Qu’elles surprises elles auront. La plus jeune sœur fut habillée par toutes, de somptueux vêtements, car celles-ci vendirent pour ce racheter et la mettre belle, tous ce qu’elles possédaient. , Arrivaient au royaume, le prince aussitôt mit un pied à terre et demanda à la jeune, belle et douce aimée  de bien vouloir devenir la mère de ces enfants, elle se mit à pleurer de joie et lui dit Oui .Mais à une condition, je voudrais que mes deux sœurs soient pardonnées par vous. Que leurs jeunes amoureux reçoivent récompenses, afin de les aider à vivre une belle vie. Les deux amoureux s’avancèrent vers le prince et celui-ci dit en voyant le visage des jeunes filles. Vous avez là mesdemoiselles bien de la chance d’avoir rencontré mes deux amis. Tout le monde fut hébété, charmé, heureux de la fin de l’histoire car toutes les trois avaient trouvé amour, mari, richesse et leur beauté n’avait d’égale que leur bonheur. L’histoire ne pourrait être finie sans que la maman, n’ait été cherchée pour bénir ses trois filles. Le prince lui offrit une suite dans son château. De là pourrait-elle voir ses trois filles et jouer avec leurs enfants. Les trois mariages eurent lieu le même jour. Une grande fête pour sceller ces amoureux. Une table somptueuse était dressée pour eux et devinez les enfants. Qui est sous la table. Qui, qui grand-mère. Mais vous tous qui faisiez bombance en mangeant tout ce qui était en trop. Maintenant, Bonne nuit les petits

JBG en souvenir de maman votre grand-mère   mamy josie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les contes de mon père  Mon tout petit dehors la nuit a fait son lit. Tes petits yeux vont se fermer, Car le marchand de sable va te visiter. Je vais te raconter une bien belle histoire, Telle que ma maman me l’a racontée, Et gentiment tu glisseras dans ton lit, Pour doucement t’endormir. C'est une aventure bizarre, étrange, Que celle de Pierre, l’enfant d’un bon marin C'est si beau grand-père ? mais dis-moi, Si c’est une histoire ou, un conte de fée. Chût, ferme tes yeux et laisse-toi emmener Prés de ce petit Pierre, de sa douce maman et de son papa pensif. Il était un soir de pleine lune, le père fatigué, rentre enfin chez lui Heureux de retrouver toute sa petite famille et là tremblant de froid, Il voit son petit enfant, son petit Pierre grelotter de froid, Tel un pauvre oiseau, tombait de son berceau. Qu’arrive t’il enfant, dit ’-il à son fils Père, j’ai si peur que le soir tu ne reviennes de la mer. Elle est si jalouse, qu’elle garde quelques fois, Tous ceux qui vont pêcher, dans le noir comme toi. Enfant va donc au lit et soit heureux ; Me voici rentré encore une fois. Se tenant par la main, ils vont dans la maison. Le père mit son fils au lit, un baiser sur le front. Femme ! dit le marin à sa douce épouse, Pierre pour un enfant de marin est trop sensible, Demain je pars très tôt est la mer est hurleuse. Elle est noire et tourmenter, Laissons dormir l’enfant et, ne lui disons rien. Pierre s’était levé doucement et, sans bruit Écoutait les paroles, que son père tenait. Et là, sans que personne ne sache sa douleur, Il se coucha tendrement sur le sol. La tête appuyait contre la lourde porte, Il s’endormit heureux, de son amour pour eux. Au matin, au levé du père il était là dormant, Comme un ange de douceur d’amour de réconfort. Le père avec tendresse, voulu déposer un baiser, sur son jeune front. Mais Pierre aussitôt se leva et fièrement :dit Père n’aie pas de crainte je suis fort maintenant .

Je t’attendrais chaque jour, avec maman .Je suis fils de marin et ,brave comme il se doit. Et là, tout ému cette fois, ce fut le père qui pleura. Cette histoire que me conta mon père, Il l’avait arrangé un peu à sa manière et, pourtant nous savons qu’il la connaissait. Victor Hugo et d’autres étaient passés par là. Bien sûr il l’a raconta aussi à ses petits enfants, à son petit-fils Franky votre papa Mamy Josie jbg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dis ! Grand-mère,

Raconte moi cette Histoire L’histoire de la petite Annie et de sa marâtre Il était une fois, une petite fille qui n’avait plus son papa et sa maman .Elle vivait seulement avec la deuxième femme de son père ,sa marâtre qui ne l’aimait guère .Celle-ci ne se privait de rien, Et demander à la petite Annie, bien des choses, qui ne pouvaient se réaliser .C’est ainsi qu’un matin plein de rosé, la marâtre apostropha la petite Annie .Feignante, fille de rien, je veux que ce matin, tu ais fini de couper le foin, de toute cette terre .Que tu l’ais fauché, tourné et rentré. La pauvre fillette, partit doucement et, se jeta dans l’herbe, en sanglotant, cachée des regards. Elle pleura si fort, que les petits nains passant par là, furent touchés dans leurs cœurs. Tic à Tic, Tic à tic, tic à tac. Que ce passe t’il petite Annie, dirent-ils d’un seul trait. Elle leur raconta, combien sa marâtre était méchante et ce qu’elle voulait d’elle. Les petits nains lui dirent d’aller dormir là dans la forêt et qu’aux 12 coups de midi tout serait rentré. LA fillette pensait qu’ils étaient bien gentils mais bien trop petits, pour arriver à cela. Mais elle était si fatiguée, que ses yeux se mirent à se fermer. Pendant ce temps on entendait tic à tic, tic à tac et aux 12 coups de midi, La petite Annie fut réveillée par ses amis et ouvrit des yeux, grands si grands, pour la joie des petits nains. Vois-tu petite Annie chaque fois que tu auras des ennuies, appelle- nous, nous serons là. La marâtre sortie aux 12 coups de midi, mais ne vit que le travail terminé. Diable, Diable dit-elle, comment a t’elle pu faire et la battant, chercha déjà ce qu’elle pourrait bien lui ordonner comme travail. La nuit allait tomber, quand la marâtre, appela la douce enfant, Feignante, bonne à rien, vient donc ici. Je veux qu’avant l’aurore ; tu ais fini de couper le blé, de l’avoir égrainé et l’avoir mis en farine. La petite Annie pendant que sa marâtre dormait partie dans les champs de blés et ce mit à pleurer. Petits Amis, gentils petits Nains, que vais-je devenir. Tic à tic, tic à tic, tic à tac et les voici tous arriver en chantant. Qui a-t-il gentille Annie, que tu pleures encore et encore. Elle leur raconta les méchancetés de sa marâtre et leur dit que cette fois, ils ne pourraient rien pour elle et, qu’elle était bien malheureuse. Va donc dormir, prés de l’âne et du bœuf, ils te tiendront chaud et te protègeront. La petite Annie s’endormit aussitôt et au petit matin se réveilla, émerveillée. Le blé était coupé, battu, mis en grain et la farine était dans les sacs, rangée comme il faut. La marâtre arriva et n’en crut pas ses yeux, la fillette avait donc tout fini, comment avait-elle pu faire. Aussitôt, elle l’appela, la gronda, la frappa. Feignante, bonne à rien, c’est donc le diable qui t’habite, qui t’aide. Vilaine enfant et vociférant toujours lui dit la malice dans l’œil. (Cette fois pensa-t-elle, elle n’y arrivera point). Je veux qu’aux 12 coups de midi. Tu ais fait le pain pour l’année entière, que tu ais trait les vaches, mis le lait dans les seaux, que le fromage soit fait pour les 12 mois à venir Que tu en ais vendu suffisamment pour remplir d‘or ces sacs-là. Et là riant à fendre l’âme, (nous verrons BIEN),. Elle partit se mettre au lit, l’âme bien guillerette sachant très bien, que cela n‘ était pas possible. La jolie Annie se mit à pleurait, appela ses amis. Tic à tic, tic à tac on entendait alors, les petits nains arrivaient en chantant. Que t’a donc fait encore la méchante, pour que tes jolis yeux soient tout remplis de larmes. Elle raconta son désespoir et leur dit gentiment, qu’ils ne pouvaient ce jour, rien pour elle, car il y avait tant à faire et à refaire. Très en colère devant tant de méchanceté, devant tant de détresse, ils n’y pouvaient tenir. Ils envoyèrent encore la fillette dormir. Ce qu’elle fit d’un trait, tant sa fatigue était grande. On entendit tout le matin, chanter nos petits lutins, tic à tic, tic à tac faisaient leurs pas en dansant. Le pain fut fait et mis sur des paillasses, les vaches traient et le fromage formé pour l’année à venir. De l’or il y avait, mais là vous allez comprendre, la malice de nos braves petits nains. Ils avaient rempli les sacs de lourdes pierres et à moitié dessus avaient mit l’or en vrac. Sachant bien entendu, qu’elle ne laisserait à d’autre le soin de mettre tout cet or à l’abri des regards. Les sacs étaient posés, près d’un puits bien profond, ils attendaient que la marâtre vienne les soupeser, voir si le contenu était bon. Les petits nains quant à eux, étaient là bien présents, mais cachés au regard de la marâtre. Les12 coups de midi sonnèrent sans réveiller l’enfant, la marâtre accourue et ouvrant les sacs dits en jurant très fort, que le diable l’emporte, j’ai fait une affaire en épousant son père.  Vite cachons ce tout, et voulant faire vite, essaya de prendre plusieurs sacs à la fois. Les petits nains ravis, la poussèrent alors dans le puits profond. Jamais plus la petite Annie ne connue la misère, le chagrin, la douleur, Elle devint bien vite une jolie jeune fille, fut remarquée par un prince charmant qui passait par là. Les noces furent faites en grande pompes. Et lors du repas les enfants savez-vous que les petits nains étaient là, que tous les animaux étaient à table. Qui avait il donc, là sous cette table, mangeant avidement les mets qu’on leur jetait. Qui, qui, Grand -mère. Mais vous gentils enfants, car vous étiez invités à cette grande fête. Mamy josie

 

 

 

 Jbg  en souvenir de maman votre G-mère et tante Il était une fois une dame très belle, mais qui vivait seule avec ses trois

Raconte  Grand-mère, Mes pitchous il faut aller dormir, vos yeux commencent à dormir Oh! Grand-mère raconte s t p  .Alors ce sera une  toute petite histoire, ensuite, vous fermerez les yeux et continuerez à faire des rêves merveilleux il était une fois une dame très belle, mais qui vivait seule avec ses trois filles Elle n’était pas très riche, son mari était parti se battre pour le ROI et n’était jamais revenu. Cette pauvre femme n’arrivait pas à faire tout, ce qu’il fallait pour ses trois filles. L’aînée belle et orgueilleuse, la seconde, belle mais cupide, la troisième belle, douce et d’une timidité à faire s’enfuir toute personne l’approchant. Celle-ci était le souffre-douleur des deux aînées. La maman ne savait plus que faire pour elles. Elle décida donc de les marier, mais qui voudrait de ces filles. Ne trouvant, aucun prétendant, la mère se décida de les envoyer faire fortune. Et par elle-même à trouver un mari. L’aînée partie donc, dans toutes les villes du royaume, son orgueil lui fut néfaste, car le seul prétendant qu’elle trouvait, était un pauvre garçon et son orgueil lui disait qu’elle pouvait trouver mieux. La seconde trouva mais, trop pauvre aussi pour elle, qui aimait tant l’argent. La troisième fut remarquée pour sa douceur, par un jeune homme d’une beauté extraordinaire. Celui-ci la demanda en mariage sans se nommer. Ses deux sœurs, voyant cet homme beau, riche de surcroît, car bien habillé et possédant carrosse. Elles firent tout pour les séparer. Prenant leur jeune sœur à part, elles lui dire, que cet homme était aussi leur prétendant et, que s’il voulait la prendre pour femme, ce n’en que pour jouer, car elle ne l’intéressait nullement. Elles lui ordonnèrent de partir loin de lui et de les laisser tranquilles, afin qu’il fasse un choix entre elles deux. La pauvre enfant partit le cœur gros, pensant combien le sort était contre elle, mais, qu’elle aimerait ce jeune homme jusqu’à la fin de ces jours. Pendant ce temps le pauvre garçon allait dans tout les sens pour la retrouver, Ces deux sœurs ayant voulu la disgracier face à lui, il comprit combien son aimée devait souffrir. Mais, ou chercher cette enfant. Ce que les jeunes filles ne savaient pas, c’est qu’il était le prince de ce royaume. Il somma donc ces demoiselles de bien vouloir se rendre au palais, ceci par le biais d’un valet.  Ne sachant ce qu’on leur voulait, mais se disant que le Roi avait dû entendre parler de leur beauté, elles s’habillèrent aussi richement que leur maigre économie le leur permettait. Arrivées au palais, elles restèrent les yeux baissés devant le prince, qu’elles reconnurent, comme était le prétendant de leur jeune sœur. Celui-ci les apostropha vivement les sommant de retrouver celle qui était dans son cœur. Sinon, pour elles deux ce serait le cachot. Prisent de peur, paniquant, l’orgueil refoulé, l’avarice tombée. Elles comprirent que ne fallait coûte que coûte retrouver leur jeune sœur, mais où ! Elles cherchèrent, rencontrant leurs anciens amoureux, elles leur demandèrent de bien vouloir les aider. Et qu’une fois leur sœur retrouvée, elles les voudraient bien prendre pour mari. Ces deux jeunes hommes qui n’étaient pas aussi pauvres qu’il y paraissait, mit tout en œuvre et finirent par retrouver la jeune fille dans un couvent ou elle s’était réfugiée. Ils la ramenèrent avec eux, ses sœurs lui demandèrent pardon, pour tout le mal et les mensonges qu’elles lui avaient racontés. Nous avons bien changé, la leçon a été dure, mais nous aussi avons rencontré l’amour, et même, si ceux que nous aimons ne sont de la noblesse, nous nous aimons assez pour être heureux. Les jeunes hommes étaient pourtant richement nés, ce qui les fit rire d’entendre leurs promises parler ainsi .Qu’elles surprises elles auront. La plus jeune sœur fut habillée par toutes, de somptueux vêtements, car celles-ci vendirent pour ce racheter et la mettre belle, tous ce qu’elles possédaient. , Arrivaient au royaume, le prince aussitôt mit un pied à terre et demanda à la jeune, belle et douce aimée  de bien vouloir devenir la mère de ces enfants, elle se mit à pleurer de joie et lui dit Oui .Mais à une condition, je voudrais que mes deux sœurs soient pardonnées par vous. Que leurs jeunes amoureux reçoivent récompenses, afin de les aider à vivre une belle vie. Les deux amoureux s’avancèrent vers le prince et celui-ci dit en voyant le visage des jeunes filles. Vous avez là mesdemoiselles bien de la chance d’avoir rencontré mes deux amis. Tout le monde fut hébété, charmé, heureux de la fin de l’histoire car toutes les trois avaient trouvé amour, mari, richesse et leur beauté n’avait d’égale que leur bonheur. L’histoire ne pourrait être finie sans que la maman, n’ait été cherchée pour bénir ses trois filles. Le prince lui offrit une suite dans son château. De là pourrait elle voir ses trois filles et jouer avec leurs enfants. Les trois mariages eurent lieu le même jour. Une grande fête pour sceller ces amoureux. Une table somptueuse était dressée pour eux et devinez les enfants. Qui est sous la table. Qui, qui grand-mère. Mais vous tous qui faisiez bombance en mangeant tout ce qui était en trop. Maintenant, Bonne nuit les petits

JBG en souvenir de maman votre grand-mère   mamy josie

 

 

 

 

 

 

Les contes au coin du feu

Assis en rond, avec nos pères et mères Au coin du feu nous nous tenions
Petits enfants, fermons nos lèvres Et ouvrons nos oreilles bien grandes ouvertes

Une histoire au bord des lèvres Notre maman, nous la contera

Il était une fois un petit garçon Qui pour Noël avait eu de beaux cadeaux

Prés de son lit, la cheminée éclairait ses petits souliers

Au petit matin ce gentil garçon, regardait tous cela avec admiration

Mais bien vite cet éclat de ses yeux se fana Il était seul, si seul, dans cette grande maison Ou son papa et sa maman ne vivait plus en amoureux Ils se querellaient si souvent Ils ne s’occupaient plus de leur enfant oh ! Dit l’enfant Si seulement ils étaient là, tous les deux Avec pleins d’amour Je donnerais tous mes cadeaux pour cela Une petite fée était présente, et écoutait cet enfant Que pouvons-nous faire ce dit elle ! Ou sont donc tes parents dit-elle à l’enfant Ils sont partis oh ! Belle dame Loin d’ici et là chez ma grand-mère m’ont laissé J’ai mal au cœur et je suis triste Ils me manquent tout deux L’enfant brusquement éclata en sanglot Je ne veux rien de tous ces cadeaux La petite fée s’éloigna sans rien dire Pour essayer de trouver la solution Le petit garçon s’enfuit loin de la maison La grand mère affolée Appela ses enfants Le papa et la maman se retrouvèrent Tous les deux, dans une même douleur Ils partirent main dans la main Firent maints et maints chemins ensemble Comprirent ce jour-là, qu’ils avaient fait fausse route En se quittant, Leur amour n’était pas mort, mais à quel prix ce jour, il devait le payer . La fée comprenant leur remord décida de les aider, eux mais surtout leur petit garçon qui avait besoin d’être aimé, de les avoir pour gravir le chemin de sa vie. Etes vous sur de vouloir vivre ensemble, de vous aimer et d’aimer votre petit garçon. Des larmes coulaient de leurs yeux et leurs mains jointes, ils balbutièrent . Oui nous le voulons, jamais plus nous laisserons notre petit, jamais plus nous ne partirons plus de querelles dans la maison. Nous ferons tout pour que le bonheur règne chez nous

Alors la fée, leur déposa un baiser sur le front et leur dit fermez vos yeux et ne les ouvrez que lorsque vous entendrez la voix de votre enfant. Surtout ne les ouvrez pas avant, sinon il ne pourra pas arriver jusqu’à vous. Ainsi fut fait les parents fermèrent leurs yeux et tombèrent dans un sommeil profond. Cela dura plusieurs jours, car il fallait que l’enfant revienne jusqu’à eux. Bonjour mon petit dit la fée à l’enfant, veut tu que tes parents reviennent vers toi. Oh dit il ce jour là sera le plus beau jour de ma vie. Il ne te faudra leur faire aucun reproche, être sage bien élevé et plein d’amour. O madame la fée que beau jour ce sera, croyez-vous qu’ils vont revenir à la maison, croyez-vous que jamais plus ils ne se disputeront. O enfant, il y aura toujours des petites querelles, car il y en a chez tout le monde. Mais elles seront vite oubliées et l’amour sera toujours là. Alors je veux bien. Ferme tes yeux et tu ne les ouvriras que lorsque le soleil brillera et qu’un oiseau de paradis chantera pour toi. Oui madame la fée et voici l’enfant porté dans les Etoiles traversant monts et merveilles, jusqu’au jour où un soleil magnifique, magique illumina les cieux, son cœur et celui de ses parents. Un chant alors s’éleva et envahi toute la terre. L’enfant se réveilla et un cri d’amour sorti de ses lèvres rose de plaisir de surprise et d’amour. Maman, papa s’écrit ‘il vous êtes là, je vous aime. Alors les yeux des parents s’ouvrirent et ils s’élancèrent vers leur enfant. Que de baisers et d’amour partagés de toutes parts fusèrent. Ils se tournèrent vers la fée, mais celle-ci avait disparue de leurs yeux. Mais leur avait laissé un message, formé dans le ciel, écrit par les nuages, chanté par les oiseaux. N’oubliez jamais que l’amour est le plus fort, que l’on doit toujours en donne si l’on veut en recevoir. N’oubliez jamais qu’après la pluie vient le beau temps Qu’après l’orage l’accalmie revient. Mais qu’il faut toujours le vouloir de toute ses forces. Je serais toujours là dans un coin de votre cœur et je vous souhaite toutes les années à venir remplie de soleil et d’amour. Alors le papa, la maman et le petit partirent vers leur maison ou le bonheur les attendait Ils firent une grande fête et ils invitèrent toute la famille mais aussi les voisins Ils y avaient de tous sur cette table, que du soleil et toutes les couleurs de l’arc en ciel, Les oiseaux chantaient un chant mélodieux rempli d’espoir et d’amour. Mais maman papa que font toutes ses personnes Elles jettent sous la table, des os et ce qu’elles ne veulent plus. Eclats de rire général, mais oui c’est normal. Tous ce qui a dessous et pour toi. Nous ne pouvions terminer l’histoire autrement, que comme ma maman, la mamy de Franck votre maman la vôtre assurément, mais oui elle faisait toujours terminer ses histoires comme cela

Mamy Josie votre mamy

 

 

 

 

 

Voici ce que franck votre papa avait appris pour sa maitresse , celle-ci-dessus et voici l’age qu’il avait. Il avait choisi une poessie dur pour son age , mais pour l’apprenre il y avait mis tous son cœur Le dormeur du val    Arthur Rimbaud

 

C’est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D’argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons .Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Arthur Rimbaud


16/11/2017
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